Orreaga Ibarra

I-063

  • Fichier: I-063
  • Fragment: A01
  • Duration: 00:00:00 - 00:20:30
  • Thčmes: grammaire: syntaxe , grammaire: verbes, temporel , grammaire: nominalisation , grammaire: comparatives
  • Sommaire: Emporte cela sans le casser, je n’en ai apportĂ© que deux, Ă  la maison il n’y a que la mère, que l’on soit grand ou petit c’est Ă©gal, qu’il soit Ă  la maison ou Ă  l’extĂ©rieur il est toujours en train de discuter, au lieu d’aller vers en haut, va vers la droite, il vaut mieux acheter que de faire, il viendra Ă  trois heures mais ce sera tard, Ă  la maison il n’y a personne d’autre, que ce soit dans la maison ou Ă  l’extĂ©rieur, il fait très chaud, que ce soit dans la maison ou Ă  l’extĂ©rieur, nous avons toujours beaucoup de travail, il vaut mieux se taire plutĂ´t que de dire des bĂŞtises, en dehors de lui tous sont venus, Ă  l’exception du frère tous sont restĂ©s, marcher en montagne fait du bien, les enfants aiment jouer, ceux-lĂ  aiment bien manger, il vaut mieux venir demain, Ă  l’exception de la mère tous sont restĂ©s, j’aime qu’ils jouent ici, ceux-lĂ  veulent que nous restions ici, je prĂ©fère venir demain, ne pas bien voir provoque des maux de tĂŞte, ils ont arrĂŞtĂ© de semer le blĂ©, celui-lĂ  a cessĂ© de fumer, je suis content de te voir, Ă  force de marcher vite il est tombĂ©, je ne veux pas que tu le fasses, je n’ai pas demandĂ© de l’apporter, la mère a dit de rester ici, j’ai achetĂ© ceci pour le donner Ă  l’enfant, celui-lĂ  est sur le point d’arriver, il n’a pas envie de manger, celui-lĂ  a peur de tomber, je suis venu voir la mère, j’ai oubliĂ© de fermer la porte, j’en ai assez d’attendre, j’essaierai de finir vite, je suis fatiguĂ© de couper l’herbe, je me souviens l’avoir achetĂ©, n’oublie pas de l’acheter, celui-lĂ  sait le faire, il s’est risquĂ© Ă  le prendre, ils m’ont laissĂ© passer, ils m’ont donnĂ© Ă  manger, celui-lĂ  continue Ă  Ă©tudier, ceci est difficile Ă  croire, cela est facile Ă  faire, il a appris Ă  jouer du txistu, je lui ai montrĂ© comment faire, celui-lĂ  a oubliĂ© comment parler en euskara, il a commencĂ© Ă  manger, j’ai mis la nourriture Ă  chauffer, je l’ai aidĂ© Ă  terminer, il est restĂ© dĂ®ner, ils ont attrapĂ© celui-lĂ  en train de voler, il n’est pas bon de ne pas marcher, je mange des lĂ©gumes pour ne pas grossir, ils sont partis pour ne pas avoir Ă  dĂ®ner, ne pas marcher du tout n’est pas bon, je pense qu’il est Ă  la maison, il a dit qu’il viendra, je n’ai pas oui dire qu’il Ă©tait malade, je ne pense pas qu’il l’ait apportĂ©, je ne t’ai pas dit que je l’ai achetĂ© ?, tu penses qu’ils viendront ?, ils ne m’ont pas dit qu’ils le feront, je n’ai pas rĂ©alisĂ© que c’est ici, je sais que c’est lundi, tu as dit que qui est venu ?, je crois qu’il est dehors, ce n’est pas vrai qu’il est venu, il n’est pas Ă©vident qu’il l’ait achetĂ©, tu sais qu’il a terminĂ© n’est-ce pas ?, je veux que celui-lĂ  vienne, dis-lui de tout apporter, je ne sais pas d’oĂą il est, je ne sais pas s’il est venu, tu n’es pas obligĂ© de partir, as-tu vu s’ils ont dĂ®nĂ© ?, je regrette d’être venu avec du retard, l’homme qui est venu est Ă©tranger, celui qui vit Ă  Etxaleku est malade, la table sur laquelle nous avons dĂ©jeunĂ© est cassĂ©e, quand tu auras fini nous irons Ă  la maison, quand tu l’auras achetĂ© tu me le montreras, il apparut alors que nous marchions en montagne, ferme la porte en sortant, après dĂ©jeuner nous irons Ă  la maison, nous Ă©tions dans la rue quand il a commencĂ© Ă  pleuvoir, je t’ai vu en venant, après le travail nous dĂ©jeunerons, pendant que vous faites cela je vais prĂ©parer le dĂ©jeuner, aussitĂ´t arrivĂ© il est allĂ© au lit, avant de dĂ©jeuner lave-toi les mains, je l’ai reconnu dès que je l’ai entendu, il viendra quand tu auras fini, je ne l’ai pas vu depuis la fois oĂą il Ă©tait venu, nous resterons ici jusquĂ  ce qu’il arrive, chaque fois qu’il vient il reste dĂ®ner, nous avons fait comme tu as dit, il parle comme si celui-lĂ  Ă©tait au courant, chaque fois qu’il vient il apporte quelque chose, je t’attendrai jusqu’à ce que tu aies terminĂ©, celui-lĂ  est pareil au père, il dĂ©pense comme s’il Ă©tait riche, celui-lĂ  te ressemble, ils s’asseoient Ă  mesure qu’ils arrivent, je suis allĂ© au magasin dans l’intention d’acheter une chemise, il les vend Ă  mesure qu’il les fait, celui-lĂ  est cassĂ©, cela est dit, je garde le pain, en sortant de la maison le chien l’a mordu, celui-lĂ  est plus jeune que toi, tu es aussi grand que celui-lĂ , plus on est haut placĂ© mieux on voit, plus c’est petit mieux c’est, celui-ci a mangĂ© autant que le frère, Ă©tant donnĂ© qu’aujourd’hui c’est lundi nous sommes allĂ©s travailler, je m’en vais car il est tard, emporte le parapluie car il semble qu’il va pleuvoir, puisque nous sommes lĂ  nous irons voir, moins il y a d’enfants mieux c’est, mieux vaut laisser que de mal faire, mieux vaut se taire que de mal parler, mĂŞme si nous Ă©tions partis en voiture nous n’arriverions pas, mĂŞme venus nombreux tous dĂ®neront, mĂŞme sans le voir je l’ai reconnu.