Orreaga Ibarra

I-074

  • Fichier: I-074
  • Fragment: A01
  • Duration: 00:00:00 - 00:27:50
  • Thčmes: Gramática: morfologĂ­a verbal
  • Sommaire: Celui-lĂ  est plus grand. Celui-lĂ  est plus petit. Je suis plus jeune que toi. Celui-lĂ  est plus vieux que toi. Celui-lĂ  est meilleur. Celui-lĂ  est pire. C’est mieux ainsi. Ainsi c’est pire. Celui-lĂ  est de plus en plus grand. Celui-lĂ  est de plus en plus vieux. Vous ĂŞtes aussi jeune que moi. Celle-lĂ  est aussi âgĂ©e que la mère. Vous ĂŞtes aussi grand que celui-lĂ . Celui-ci est aussi bon que le vĂ´tre. Je prĂ©fère ceux-ci Ă  ceux-lĂ . Je prĂ©fère le matin que l’après-midi. Vous avez apportĂ© davantage que moi. Celui-lĂ  a achetĂ© moins que nous. Vous avez autant d’argent que moi. Celui-lĂ  a mangĂ© autant que le frère. Celui-lĂ  est trop grand. Celui-lĂ  est trop petit. Ils ont apportĂ© trop. Celui-lĂ  a trop. Celui-lĂ  est le plus jeune des garçons. Celle-lĂ  est la plus âgĂ©e des femmes. Je ne suis pas si gras. Vous n’êtes pas si grand. Celui-lĂ  n’est pas si mince. Celui-lĂ  est très grand. Celui-lĂ  est très petit. Ici il y a beaucoup de brebis. Ils ont apportĂ© beaucoup d’oignons. Cela est assez chaud. Assez froid. Celui-lĂ  est très grand. Celui-lĂ  est très jeune. Celui-lĂ  est très joli. La rivière est sale. La nourriture est salĂ©e. Cela est dit. Cela est cassĂ©. J’ai effectivement entendu cela. J’ai compris quelque chose comme cela. Celui-lĂ  est le curĂ© du village. Il est curĂ© dans cet autre village d’à cĂ´tĂ©. Mon frère est berger en AmĂ©rique. Ils ont envoyĂ© celui-lĂ  comme domestique. Ils ont pris celui-lĂ  pour maire. Il s’est jetĂ© Ă  l’eau. La mère a mis la marmite sur le feu. Ils l’ont emmenĂ© dans les bras. Ceux-lĂ  sont restĂ©s au soleil. Ils sont allĂ©s Ă  gauche. Les pommiers sont en fleurs. J’ai mis la marmite Ă  feu doux. Ils l’ont mis dans l’eau de la fontaine. Il est restĂ© Ă  ma gauche. J’ai tenu l’enfant dans mes bras. Nous sommes restĂ©s sur place. Ils sont venus par le mĂŞme chemin. Nous avons bu un verre d’eau. Ils ont apportĂ© une pleine charrette de foin. Donnez-moi un kilo de poires. Combien vaut un kilo de poires ? J’ai attendu une heure. La cuisine fait trois mètres de long. Ils sont venus Ă  une dizaine. Nous irons souper Ă  une quinzaine. Ils prennent cent pesetas au kilo. Ils donnent deux cents pesetas pour chacun. Vous mangerez ceci Ă  moitiĂ©. Dans cette maison, ils nous donnĂ© un peu de fromage Ă  chacun. Nous en avons trois chacun. Son ami (lui) est venu. Celui-lĂ  a apportĂ© des poules et son frère les a tuĂ©es. Son propre père l’a frappĂ©. Sa mère lui parle toujours en euskara. Sa sĹ“ur a apportĂ© le souper. Avez-vous achetĂ© quelque chose ? Avez-vous vu quelqu’un dehors ? Je n’ai rien apportĂ©. Je n’ai vu personne. Ceux-lĂ  ont apportĂ© quelque chose. Quelqu’un est entrĂ© dans la maison. N’importe qui peut venir. Dis n’importe quoi. Un enfant viendra demain. Ils amènent une brebis. Chacun vit chez soi. Chacun fait ce qu’il veut. Cela est difficile pour chacun. Chacun peut le faire. Nous avons mangĂ© ensemble. Ceux-lĂ  sont venus ensemble. Nous nous sommes assis l’un derrière l’autre. Nous nous connaissons. Celui-lĂ  est d’ici. Il est ici. L’avez-vous quelque part ? Vous ĂŞtes-vous dĂ©jĂ  trouvĂ© Ă  Etxalar ? Sont-ils allĂ©s quelquepart ? Ils l’ont pris pour un idiot. Ils l’ont pris pour ami. Dans quelle maison se trouve t’il ? Je suis restĂ© dans trois maisons. Je viendrai dimanche. Le bruit a durĂ© toute la nuit. Ces dernières annĂ©es il est restĂ© Ă  l’extĂ©rieur. Il est restĂ© trois jours Ă  Iruñea-Pampelune. Celui-lĂ  est restĂ© de nombreuses annĂ©es en AmĂ©rique. Attendez un peu. Fermez un peu la fenĂŞtre. Il a Ă©tĂ© mal pendant deux semaines. Combien de jours ĂŞtes-vous restĂ© Ă  l’extĂ©rieur ? Il est restĂ© deux jours sans venir. Ces jours-ci il n’est pas venu. Ces jours-ci je ne l’ai pas vu. Le poulet est Ă  cent pesetas. Dans quelle montagne avez-vous Ă©tĂ© ? Je me suis rendu dans trois maisons. Je le revis trois jours plus tard. Je dois partir d’ici quatre semaines. De quelle maison venez-vous ? Je suis venu de trois maisons. (Depuis hier) je ne l’ai pas vu. (Depuis lors) il n’est pas venu. Ils sont allĂ©s de rue en rue. Ils sont venus de porte en porte. De quelle maison est votre femme ? Combien de portes compte la maison ? De quelle couleur est la jupe ? Un enfant de quatre ans est venu. Ils ont apportĂ© une pierre de cent kilos. Par ta faute nous sommes arrivĂ©s en retard. Ils l’ont fait pour l’argent. MalgrĂ© tout nous l’avons bien fait.. MalgrĂ© toi nous sommes arrivĂ©s vite. D’oĂą me connaissez-vous ? Depuis quand ne l’avez-vous pas vu ? La neige est bonne pour les terres. Cela est mauvais pour la santĂ©. Il sera lĂ  pour demain. Ceci est pour aujourd’hui. Nous avons pris l’autobus pour Iruñea-Pampelune. C’est le chemin de la maison. Pour quand est le travail ? Pourquoi avez-vous fait cela ? Nous sommes restĂ©s jusqu’à trois heures. Ils ont parlĂ© jusqu’à cinq heures. Jusqu’à quand resterez-vous ici ? Ils sont allĂ©s jusqu’à la maison. Ils viennent dans trois jours. Il partira au bout d’une semaine. A cette heure-lĂ  il reste dĂ©jeuner. Celui-lĂ  vient souvent. Ils soupent tard. Celui-lĂ  est toujours pareil. Celui-lĂ  est venu souvent. Celui-lĂ  a parlĂ© avec la mère. Le mois prochain ils viendront souvent. L’autre semaine nous le verrons souvent. S’il vient rapidement je le verrai. Si vous apportez cela, je l’emmènerai Ă  la maison. Si j’avais de l’argent, j’aimerais vivre bien. Si j’allais en montagne, je me perdrais. Si vous apportiez cela, nous l’emporterions. Si celui-lĂ  Ă©tait Basque, il resterait avec nous. S’ils n’apportent pas de pain, nous ne souperons pas. S’ils ne viennent pas rapidement, ils ne nous verront pas. Je peux aller Ă  la maison. S’il faisait beau, nous irions Ă  la montagne. Je peux venir demain. Je peux rester avec celui-lĂ  aujourd’hui. J’apportai le repas. La mère pouvait rentrer Ă  l’église. Peut-on entrer ici ? On peut dire cela. Celui-lĂ  peut entrer dans la maison. Celui-lĂ  peut dire ce qu’il veut. Je veux qu’il vienne. Ceux-lĂ  veulent rester ici. Prends cet enfant, qu’il ne tombe pas. J’ai fermĂ© la porte pour qu’il ne prenne pas froid. J’ai peur qu’il vienne. Il a peur qu’on lui enlève. Celui-lĂ  a peur de tomber. Qu’il vienne. Qu’il l’apporte. Qu’il ne parte pas. Qu’il ne mange pas. S’il pleuvait aujourd’hui. S’il faisait beau. Je dois aller Ă  la maison. Demain je devrai aller Ă  la montagne. Ce matin j’ai dĂ» aller Ă  la maison. Celui-lĂ  veut se marier. Demain il voudra venir. Aujourd’hui le père a voulu venir plus tĂ´t. Je ne peux pas venir avec vous. Demain je ne pourrai pas venir. Ce matin je ne pouvais pas venir plus tĂ´t. Ils ont fait pleurer l’enfant. Ils ont fait venir le père. Ils ont fait venir celui-lĂ . La mère l’a fait lever tĂ´t. Ils lui ont fait tout finir. Nous sommes en train de souper. Quand il est venu j’étais en train de dĂ©jeuner. Demain quand vous viendrez je serai en train de finir. Qu’êtes-vous en train de faire ? Que faĂ®tes-vous lĂ  ? Qu’avez-vous dans les mains ? Ici j’ai ceci. Il pleut. Demain il neigera. Ce matin il a neigĂ©. Ici il fait très froid. Ici il neigeait souvent. Celui-lĂ  sait chanter. Il s’est aventurĂ© Ă  le prendre. Ils m’ont laissĂ© passer. Ils m’ont donnĂ© Ă  manger. Celui-lĂ  continue Ă  Ă©tudier. Je l’ai accompagnĂ© Ă  la maison. Je l’ai regardĂ©. Je l’ai appelĂ©. Je l’ai attendu. J’ai attrapĂ© le chien. J’ai fini. Ils m’ont suivi. Celui-lĂ  se souvient du village. Je ne me souviens pas du nom. Je me suis rendu compte de cela. Que vous importe ? Cela m’est Ă©gal. Cela n’a pas d’importance. Que vous semble t’il ? Cela me paraĂ®t bien. Je suis montĂ© Ă  la maison. Je suis sorti tard. Le chien est dehors. Je suis debout. Ce matin je suis allĂ© Ă  Irurtzun. Celui-lĂ  est restĂ© assis. Il est difficile de croire cela. Il est facile de dire cela. Je prĂ©fère venir demain. Celui-lĂ  prĂ©fère s’arrĂŞter. C’est moi qui ai le pain. J’ai la clĂ© dans la poche. C’est moi qui ai cela. C’est vous qui avez gardĂ© le pain.