Orreaga Ibarra

I-075

  • Fichier: I-075
  • Fragment: A01
  • Duration: 00:00:00 - 00:19:16
  • Thčmes: grammaire: syntaxe
  • Sommaire: Marcher dans la montagne fait du bien, les enfants aiment jouer, j’aime qu’ils jouent ici, je crois qu’il est Ă  la maison, ils ne m’ont pas dit ce qu’ils vont faire, tu n’as pas de raison d’y aller, celui-lĂ  est nĂ© ici, quand tu auras terminĂ© nous irons Ă  la maison, ferme la porte en sortant, aussitĂ´t arrivĂ© il est allĂ© au lit, avant d’allumer le feu ferme la fenĂŞtre, il viendra pour quand tu auras terminĂ©, je ne l’ai pas vu depuis la fois oĂą il est venu, nous resterons jusqu’à ce qu’ils viennent, chaque fois qu’il vient il apporte quelque chose, je l’ai fait comme tu m’as dit, celui-lĂ  parle comme s’il savait, celui-lĂ  est comme le père, il mange les fraises Ă  mesure qu’il les ramasse, d’après ce qu’ils ont dit ils viendront plus tard, cela est cassĂ©, le chien l’a mordu en sortant de la maison, Ă  force de travailler ils feront bien quelque chose, tu aussi grand que celui-lĂ , je suis plus jeune que toi, plus tu es haut placĂ© mieux tu vois, celui-lĂ  est chaque fois plus grand, cela est beaucoup plus facile, celui-lĂ  a mangĂ© autant que le frère, je viens tard parce que j’ai ratĂ© le train, je m’en vais car il est tard, prends cet enfant pour qu’il ne tombe pas, mieux vaut le laisser que de le faire mal, mĂŞme s’ils sont venus nombreux ils dĂ®neront tous, j’ai oubliĂ© de fermer la porte, il a dit qu’il viendrait, je ne crois pas qu’il l’ait apportĂ©, celui-lĂ  est venu avec l’enfant avec lequel je me suis trouvĂ©, mieux vaut venir demain, quand tu l’achèteras tu me le montreras, mĂŞme s’il n’est pas venu cela n’a pas d’importance, ils veulent que nous restions ici, je ne pense pas que celui-lĂ  soit d’ici, l’homme avec lequel tu es restĂ© bavarder n’est pas ici, nous dĂ©jeunerons après avoir travaillĂ©, j’ai prĂ©parĂ© le repas comme l’a dit la mère, mĂŞme s’il est du village je ne le connais pas, je prĂ©fère que tu viennes demain, je n’ai pas oui dire qu’il Ă©tait malade, tu ne dois pas le dire, ce qui vient de Pampelune est bien gardĂ©, il s’est cassĂ© aussitĂ´t qu’il a Ă©tĂ© terminĂ©, cela est dit, nous irons mĂŞme Ă  pied, ils n’ont pas dit qu’ils viendraient demain, je sais quoi dire, je regrette d’être venu tard, je suis restĂ© avec l’homme en compagnie duquel tu as discutĂ©, j’ai fait ceci comme lui, je me suis brĂ»lĂ© en allumant le feu, je prĂ©fère que tu viennes demain, mĂŞme s’il fait mauvais je ne reste pas Ă  la maison, j’ai fermĂ© la porte pour qu’il ne prenne pas froid, il vaut mieux se taire que de parler mal, mĂŞme s’il fait mauvais j’irai en montagne, tu dois tout manger sinon tu resteras petit, il n’est pas vrai qu’il est venu, après avoir pris l’argent il partit, mĂŞme s’il n’est pas bien il peut servir, c’est la mère qui a fait cela, plus c’est petit mieux c’est, je ne me souvenais pas qu’il fĂ»t Ă  la maison, pendant que vous terminerez j’irai Ă  la maison, tu as portĂ© plus que moi, je l’ai reconnu sans mĂŞme le voir, sans voiture on ne peut pas y aller, je ne savais pas qu’il Ă©tait d’ici, celui-lĂ  te ressemble, Ă©tant donnĂ© qu’aujourd’hui c’est lundi je suis allĂ© travailler, il mourut peu de temps après ĂŞtre tombĂ© malade, il est restĂ© dĂ®ner, ils l’ont attrapĂ© alors qu’il Ă©tait en train de voler, je l’ai aidĂ© Ă  terminer, j’ai mis le repas Ă  chauffer, ils m’ont laissĂ© passer, ils m’ont servi le dĂ©jeuner, ne pas marcher est mauvais, je me rĂ©jouis de te voir, le chien aboie dès qu’il entend du bruit, ils sont partis pour ne pas dĂ®ner, faire cela est facile, j’ai commencĂ© Ă  manger, celui-lĂ  a oubliĂ© comment parler en euskara, ils s’assoient Ă  mesure qu’ils arrivent Ă  la maison.