Orreaga Ibarra
I-074
- Fichier: I-074
- Fragment: B01
- Duration: 00:00:00 - 00:17:38
- Thčmes:
grammaire: syntaxe
- Sommaire: Marcher en montagne est bon. Les enfants aiment jouer. Ceux-là aiment bien manger. J’ai oublié de fermer la porte. Il vaut mieux venir demain. Ils veulent rester ici. Ils ont cessé de semer le blé. Celui-là a cessé de fumer. Je suis content de vous voir. Il est tombé parce qu’il était pressé. J’aime jouer ici. La mère aime manger à la maison. Dire cela n’est pas bon. Ne pas bien voir donne mal à la tête. Je ne veux pas que vous le fassiez. Je n’ai pas demandé qu’on l’apporte. La mère a dit de rester ici. J’ai acheté ceci pour le donner à l’enfant. Cela est à venir. Il n’a pas envie de manger. Je suis venu voir la mère. J’en ai assez d’attendre. Je vais essayer de finir vite. Je suis fatigué de couper l’herbe. Je me suis souvenu de l’acheter. Souviens-toi de l’acheter. Celui-là a appris à jouer du txistu. Je lui ai appris à le faire. Celui-là a oublié comment parler en euskara. J’ai commencé à manger. Il s’est arrêté de dîner. J’ai mis le repas à réchauffer. Je l’ai aidé à terminer. Ils les ont attrapés en train de voler. Il est mauvais de ne pas marcher. Ils sont partis pour ne pas souper. Je mange des légumes pour ne pas grossir. Vous n’avez pas de raison de partir. Vous n’avez pas de raison de dire cela. Je suis désolé d’être arrivé en retard. Je sais quoi dire. Dites lui de tout apporter. Je suis né ici. Celui-là est venu de l’extérieur. Quand vous aurez terminé nous irons à la maison. Quand tu l’achèteras, tu me le montreras. Je garde ce qui a été amené d’Iruñea-Pampelune. Cela a été fait par la mère. Il apparut quand nous étions dans la montagne. Quand il a commencé à pleuvoir nous étions dehors. En sortant fermez la porte. Quand tu es arrivé je t’ai vu. Après déjeuner nous irons à la maison. Nous mangerons quand le travail sera fait. Pendant que vous terminez, je vais aller à la maison. Pendant que vous faites cela, je vais préparer le déjeuner. Dès son arrivée il alla se coucher. Avant d’allumer, fermez la fenêtre. Il viendra pour quand vous aurez terminé. Il tomba malade et mourut en suivant. Je l’ai reconnu dès que je l’ai entendu. Quand nous sommes partis ils s’en étaient allés. (Depuis qu’il est venu je ne l’ai pas vu). Le chien aboie dès qu’il entend un bruit. Avant de manger lavez-vous les mains. En attendant qu’il arrive, nous resterons ici. Chaque fois qu’il vient il reste dîner. Je t’attendrai jusqu’à ce que tu aies fini. Chaque fois qu’il vient il apporte quelque chose. Nous avons fait comme vous aviez dit. Celui-là parle comme s’il savait. Il dépense comme s’il était riche. J’ai fait ceci comme celui-là . C’est celui-là qui est semblable au père. Quand ils viennent, ils s’assoient. Je suis allé au magasin avec l’intention d’acheter une chemise. Celui-là vous ressemble. Il mange les fraises au fur et à mesure qu’il les ramasse. Ils sont venus avec nous pour discuter. En sortant de la maison, le chien l’a mordu. Une fois l’argent pris, il partit. Il dépense ce qu’il gagne. Comme il l’a dit, il viendra à la maison. En apportant cela nous ne faisons rien. J’ai apporté un fromage semblable à celui que vous aviez vu. La lumière s’est éteinte alors que nous étions en train de dîner. En disant cela vous ne résolvez rien. Il vend en fonction de ce qu’il fait. Dire la vérité, c’est déjà beaucoup. J’ai apporté une chemise pareille à celle qu’a le père. Les maisons anciennes sont en train de disparaître. Vous êtes aussi grand que celui-là . Il est aussi grand que celui que vous avez apporté. A force de travailler, ils feront bien quelque chose. Plus on est haut placé, mieux on voit. Cela est beaucoup plus facile. J’en ai apporté autant que la mère me l’a demandé. Il y a de plus en plus de choses. Il y a de moins en moins d’enfants. Celui-ci a mangé autant que le frère. Plus tu en apportes, mieux c’est. Il n’est pas venu parce qu’il est tard. Moins il y a d’enfants, mieux c’est. Ils ont apporté beaucoup plus. Il a acheté beaucoup moins. Aujourd’hui nous sommes allés travailler comme un lundi. Je dois le mettre ici car il n’y a pas de place ailleurs. Il faut acheter le plus grand. Celui-là ne sait pas l’euskara parce qu’il vient de l’extérieur. Mieux vaut laisser que de mal faire. Je m’en vais parce qu’il est tard. Il emporte le parapluie car il semble qu’il va pleuvoir. Puisque nous sommes ici, nous irons le voir. Mieux vaut se taire que de parler mal. Une fois commencé, il faut terminer. Si nous étions allés à la maison, nous l’aurions vu. Une fois commencé, terminez. Bien qu’ils viennent nombreux, tous dîneront. Même si le temps est mauvais nous irons à la montagne. On ne peut pas y aller si l’on n’a pas de voiture. En n’arrivant pas rapidement, impossible de le voir. Qu’il ne vienne pas n’a pas d’importance. Bien qu’il ne soit pas bien, il peut valoir la peine. Vous devez manger sinon vous resterez petit. En y allant en voiture, on peut arriver plus tôt. Même si vous terminez à dix heures, ce sera tard. En venant le matin, nous ne le verrons presque pas. Si le temps est beau, on peut aller à la montagne. Il restera à la maison et sinon au bar. Même s’il est du village, je ne le connais pas. Même si nous y allons en voiture nous n’arriverons pas. Je l’ai reconnu sans même le voir. Il est si grand qu’il ne rentre pas dans la porte. Nous devons y aller même à pied. Je ne lui donnerai pas même s’il se met à genoux. Il est si gros qu’il peut tomber malade. Il nous l’a donné sans même demander. Même s’il fait mauvais temps, celui-ci ne reste pas à la maison. Il l’a fait sans même le vouloir. Même s’il vient de l’extérieur, il a appris l’euskara. Il apparut alors que nous étions dehors. Je me suis brûlé en allumant le feu. Plus vous êtes près, mieux vous entendez. J’ai apporté un livre semblable à celui que vous m’avez montré. Je l’ai perdu juste après l’avoir acheté. Quand il viendra il sera terminé. Quand il viendra, je resterai avec lui.