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| Arantza |
| Fragment | Duration | Sommaire |
| A05 | 00:11:47 00:14:30 |
Aux alentours, il n’y avait pas d’autre usine que la Fonderie de Vera. Aussi le travail était celui de la ferme : à la maison, en montagne, vendre les châtaignes et le fromage, entre autres. Dans chaque maison, il y avait quelques vaches, et avec le lait vendu, on faisait du beurre, qu’on appelait “Fersa” et “Dulcinea”. Aurevoir |
| A04 | 00:08:30 00:11:47 |
Ustensiles de cuisine : kinkea, "neskatua" (au lieu du réchaud), crémaillère, poêles, chocolatières, "morengilua" (mixeur), fonte et "malatxa" (batteur). |
| A03 | 00:06:20 00:08:32 |
Fabrication des petits pains ("opilak"): on pétrissait avec le pétrin, on les mettait à cuire dans le foyer (“lurreko sua”) et on les retournait avec le fer. Ils étaient conservés dans le coffre à farine. La farine était amenée du moulin, était passée au tamis et on lui enlevait le son pour faire les petits pains. Actuellement, les moulins ne sont plus utilisés même dans les endroits où il en existe encore. |
| A02 | 00:02:47 00:06:20 |
Deux histoires de jeunesse: d’un côté, le grand-père, au lieu d’accomplir son service militaire, était demeuré caché au moment de la guerre carliste. D’autre part, la grand-mère avec deux autres filles, allait aux fêtes de la San Fermin gagner un peu d’argent. |
| A01 | 00:00:00 00:02:47 |
La Guerre Civile ne changea pas Arantza, puisqu’aucune action de guerre ne parvint jusque là . |
| Piste | Duration | Écoutez le fichier |
| D-028-A | 14:35 |
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| Archive | Grandeur | Matériau |
| D-028 | n/a | Transcription |