Satrustegi

SH-003

  • Date d'enregistrement: 1982-03-01
  • Propiétaire: Euskarabidea-mediateka
  • Informateur: Juan Miguel Huarte.
  • Chercheur: Jose Maria Satrustegi
  • Thčme principal: La vie. Le moulin. Acheter le bois. Plazaola. Rhumatisme. Voir les mines. Les grottes. Porcher. Cabanes Ă  cochons. En bas des arbres. Coutumes de la Saint-Jean. Saint-Antoine.
  • Consultation: Libre
  • Publication: Limitée
  • Qualité sonore: Normale
Cartes Dialectes Cartes
Uharte-Arakil
Fragment Duration Sommaire
A09 00:31:24
00:36:13		 Le jour où ils allèrent voir la grotte des “gentiles” (personnages de la mythologie basque).
A08 00:28:00
00:31:15		 Il connaissait les dolmens et les grottes d’Urbasa. A l’époque de la guerre civile il fit du négoce. Histoire de l’homme qui extrayait de la pierre.
A07 00:25:42
00:28:00		 Il envoyait les châtaignes à Burgos. Quelqu’un de Barcelone acheta deux wagons de châtaignes pour faire de la teinture. Il a beaucoup travaillé ici et là.
A06 00:24:21
00:25:42		 Quand il alla mieux il s’en fut à la montagne. Il avait des boeufs : au début pour le bois et quand ils en avaient besoin au village ils s’en servaient aussi.
A05 00:23:09
00:24:20		 Il commença à avoir des rhumatismes et consulta un médecin pour se soigner. Courants et injections.
A04 00:18:40
00:23:09		 Histoires de Plazaola. Modes de paiment.
A03 00:12:20
00:18:40		 Il travailla dans les champs avant de travailler au moulin. Il achetait et vendait aussi des bois. Histoires sur le bois et les forĂŞts.
A21 01:00:29
01:02:56		 Anecdote : le jour oĂą un ami voulut acheter une vache.
A20 00:57:38
01:00:20		 L’euskara d’Uharte et d’Iraneta étaient différents, quelques exemples.
A02 00:03:27
00:12:20		 Il travaillait au moulin jusqu’à ce qu’il ait l’infarctus. Comment il monta le moulin avec l’aide du secrétaire de Uharte-Arakil. Histoires à propos de l’autre moulin et d’autres personnes.
A19 00:54:02
00:57:38		 Carnavals : seuls ceux du même âge le font. Ils font des tours avec la musique à la recherche de pourboires. Il y avait deux ou trois bandes et chacune avait deux majordomes et ce sont eux qui rassemblaient et répartissaient ce qui était recueilli. Les enfants leur criaient : "Koko bekorri, urtean behin etorri". (Koko bekorri, vient une fois par an). Ils faisaient des mannequins mais ne les brûlaient pas.Avec le visage couvert ils poursuivaient les gens.Le diction : "Momoloa etorriko da, Momoloak eramango zaitu" (Le monstre viendra, le monstre t’emportera).Sa mère (d’Araitz) disait "moxorroak"(déguisements) mais lui dit "kokoak".
A18 00:51:50
00:54:02		 A son époque, la tradition de "Ur goiena" était perdue. Ils n’allaient pas de maison en maison offrir de l’eau. Ils faisaient seulement la symbolique de l’eau neuve et de l’eau ancienne.Le Jeudi Saint, les garçons allaient de maison en maison récupérer des casseroles. Ensuite, c’était à qui les casserait le premier à coups de pierre.Lui n’a pas connu de jour précis où l’on mît le feu aux outres en traversant tout le village.
A17 00:51:27
00:51:50		 Il n’a pas connu Olentzero à Uharte.
A16 00:50:55
00:51:27		 On gardait la pâte et à la Saint Antoine on la passait fumante au dessus du bétail.
A15 00:46:38
00:50:55		 Le jour de la Saint Jean on se lavait à l’eau. Les feux se faisaient la veille. On ramassait aussi les herbes de la Saint Jean. On plaçait des branches de sureau et d’aubépine à toutes les fenêtres. On ramassait aussi des feuilles de frêne. Le bois pour faire les feux.
A14 00:45:08
00:46:38		 Aucun arbre ne l’a attrapé mais ce fut le cas de quelques autres. Autre anecdote.
A13 00:44:11
00:45:08		 Une autre fois il eut aussi un accident semblable.
A12 00:42:50
00:44:11		 Une autre fois ils allèrent chercher du bois, et ils enlevèrent toutes les branches d’un châtaignier. Il commença à rouler tout entier, jusqu’à ce qu’enfin il s’arrête.
A11 00:37:42
00:42:50		 Il raconte un jour où il s’en fut faire une cabane. Il tomba de la cabana et alla à San Miguel, et là ils le soignèrent.
A10 00:36:15
00:37:42		 Comment ils faisaient les cabanes : ils faisaient un trou au meilleur arbre et entraient un bâton. Ensuite, ils installaient à droite et à gauche comme une tente de campagne et la couvraient d’une fine couche d’herbe, et l’eau ne pénétrait pas.
A01 00:00:00
00:03:27		 Nom, âge, comment il vit, l’infarctus qu’il eut il y a quatre ans, etc. A propos d’autres personnes.
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SH-003-A 63:04
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