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fĂȘtes [73 résultats]

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D-001 A11 FĂȘtes hivernales: tout Ă©tait dĂ©corĂ© et on installait des ampoules rouges, vertes et blanches. Il y avait un orchestre et un bal. FĂȘtes de la nouvelle place: tout Ă©tait dĂ©corĂ© Ă  l’aide de buis. Le 22 juillet, jour de la Madeleine, avait lieu une autre fĂȘte de moindre importance Ă  Legarrea.
D-018 A01 fĂȘtes de Saint Jean - alimentation: oublies Les fĂȘtes d’Arbizu ont lieu Ă  la Saint-Jean. Iosu raconte comment se dĂ©roule la veille: la rĂ©union a lieu dans l’ermitage oĂč se font les vĂȘpres et oĂč chante la chorale du village, le vin est rĂ©parti dans des timbales d’argent, on dĂźne en groupes (boudin) et le soir on saute au-dessus du feu pour laver son Ăąme.
D-025 A04 alimentation: friand, chausson Autrefois les fĂȘtes avaient lieu Ă  la Saint Martin: on jouait du txistu. On mangeait des soupes du Baztan ("Baztan zopak"), le mouton grillĂ© ("zikiro") et des petits pains ("piperropilak").
D-057 A15 FĂȘtes de Beruete. Autrefois, elles avaient lieu en octobre. La Vierge en Ă©tait la patronne et elles dĂ©butaient le samedi prĂ©cĂ©dent. On faisait venir un orchestre pour la musique, mais la majoritĂ© des participants aux activitĂ©s Ă©taient les gens du village.
D-057 A19 PrĂ©sentation de Valentin. Les fĂȘtes du village duraient trois jours. Certains garçons allaient chez les filles et leur offraient des galettes.
D-057 A24 Les fĂȘtes de Beruete avaient lieu le premier dimanche d’octobre. Tout le village sortaient faire un tour la veille saluant ainsi le dĂ©but des festivitĂ©s. Les familles se retrouvaient et dans la soirĂ©e il y avait un bal sur la place.
D-057 A07 FĂȘtes de Beruete. Elles furent dĂ©placĂ©es d’octobre Ă  aoĂ»t. Elles dĂ©butent le jeudi soir par un repas; Le vendredi matin, c’est la grand-messe, le samedi se dĂ©roule un championnat de mus et des jeux pour les enfants. Le dimanche, place aux bĂ»cherons et aux improvisateurs. Le lundi, ils sortent faire la quĂȘte de maison en maison et font ensuite un repas au restaurant. En octobre, un repas est organisĂ©, animĂ© par de la musique, en souvenir des fĂȘtes.
D-064 A06 anecdote Ils faisaient aussi les fĂȘtes : celles de San Fermin, le jour de San Fernando, les fĂȘtes du village. Le jour oĂč il courut devant les taureaux et dĂ©chira ses pantalons. Revenant chez lui ivre, il perdit une espadrille et c’est son pĂšre qui la retrouva le lendemain. Le jour oĂč les filles les accueillirent Ă  coups de pierres.
D-070 A03 Leur plus grande joie Ă  l’occasion des fĂȘtes du village Ă©tait de voir les taureaux. Ils Ă©taient aussi trĂšs contents quand on leur donnait un peu d’argent.
I-018 B08 Ils allaient aux fĂȘtes des villages oĂč ils avaient de la famille. Ils portaient des cierges pour les gens de la famille. Durant les fĂȘtes ils avaient beaucoup de travail Ă  la maison.
I-028 A09 anecdote Pendant les fĂȘtes, ils allaient Ă  Jauntsarats Ă  bicyclette. Ils mettaient les filles sur la bicyclette et allaient Ă  Itsaso. Anecdote. Ceux de Beruete avaient trĂšs mauvaise rĂ©putation. Les filles de lĂ -bas ne voulaient pas aller avec les garçons du village. Ils Ă©taient trĂšs stupides. Anecdote : ils tuĂšrent un garçon pour lui voler son argent.
I-029 A07 Ils allaient faire les fĂȘtes des villages environnants, mais ils devaient y aller Ă  pied et ĂȘtre Ă  la maison pour la priĂšre du soir, dans le cas des femmes. Les hommes pouvaient rentrer Ă  n’importe quelle heure.
I-033a A04 anecdote Le frĂšre du secrĂ©taire mourut alors qu’il posait une bombe. Ils placĂšrent une trĂšs grande pancarte et les danseurs ainsi que tous les gens qui jusque lĂ  avaient l’habitude d’y aller, reculĂšrent et plus personne ne vint. C’est ainsi que le village perdit son ambiance : les danseurs venaient de Pampelune, les gens Ă©taient venus voir les championnatsA l’heure actuelle il y a toujours des rencontres de sports basques et des championnats de pelote.Les fĂȘtes Ă  Gartzaron ont lieu le quinze aoĂ»t.A Gerendiain le huit octobre.
I-060b B06 anecdote Il passa trois ans Ă  la guerre dans la partie biscayenne.Les fĂȘtes de Beorburu ont lieu Ă  la San BartolomĂ©. Ils Ă©taient motivĂ©s mais aprĂšs deux jour ils devaient travailler Ă  ramasser le blĂ©. Anecdotes.
I-071 A09 chanson - danse: aurresku Aurresku (salut dansĂ©), zortziko dantza. Ils se dansaient durant les fĂȘtes de la Saint Jean. Chanson: le drapeau d’Areso. La danse locale s’est perdue il y a dix ans. FĂȘtes : Saint Jean et Saint Michel. Autrefois les improvisateurs y allaient mais Ă  prĂ©sent la municipalitĂ© ne les fait plus venir. Il n’y a pas d’improvisateur dans le village. Ils venaient du Gipuzkoa. Txirrita, Lasarte, Mattin, Xalbador, Amuritza. Aurevoir.
I-095b B05 On faisait la fĂȘte tous les dimanches.
IR-003 A02 Les fĂȘtes avaient lieu Ă  San Pedro. Ils apportaient de la musique et il y avait aussi une fanfare. Le bal Ă©tait sur la place et Ă  minuit ils rentraient Ă  la maison. Les parents venaient. On organisait des parties de pelote entre ceux du village. On mangeait de l’agneau grillĂ©, du vermicelle et des haricots. Cela durait trois jours. Ils allaient Ă  la messe et les gens se rassemblaient au fronton et dans les tavernes. S’il y avait un deuil dans une famille cela Ă©tait respectĂ© et on ne fĂȘtait rien.Ils buvaient du vin et il y avait aussi du cafĂ©. Durant la guerre on faisait le cafĂ© avec de l’orge.
IR-006 A06 Les fĂȘtes d’Abaurrea Alta avaient toujours lieu Ă  la San Pedro. Elles duraient trois jours et faisaient venir un bon orchestre. Le matin on faisait la ronde.
IR-007 B04 Les fĂȘtes de la San Pedro duraient trois jours. Les parents allaient Ă  la maison et on prĂ©parait repas de midi et du soir. Les maĂźtresses de maison ne sortaient pas de la maison parce qu’elles avaient beaucoup de travail Ă  tout prĂ©parer. Les jeunes sortaient. Anecdote de ce qui arriva avec le coq. Il y avait moins Ă  manger mais davantage d’humour.
IR-008 A13 Ils Ă©voquent les fĂȘtes d’Aria.
IR-008 A19 jour: du donneur de sang Les fĂȘtes d’Orbara ont lieu Ă  la mi-aoĂ»t, celles de Burguete Ă  la Saint Jean et celles d’Abaurrea Alta sont suspendues pour le moment. A la fin de la semaine, ce sera la journĂ©e des donneurs de sang, mais peu de gens se sont inscrits.
IR-008 A21 Ils commencent Ă  plaisanter sur les fĂȘtes d’Orbaitzeta. Il y aura Mikel Saralegui, chanteur basque, Montaña y Ribera, le groupe Urtzi
 Ils ne trouvent pas de cuisiniĂšres.
IR-011a A08 danse Quand ils Ă©taient jeunes, garçons et filles du quartier se rĂ©unissaient et ils faisaient les fiers ou jouaient aux cartes. Ils allaient au Pays basque nord pour les fĂȘtes. Une fanfare jouait Ă  Saint-Jean-Pied-de-Port et dans les fĂȘtes moins importantes quelque accordĂ©on. Ils dansaient "dantza lotua" (attachĂ©) ou le fandango.
IR-016 A10 Autrefois plus de gens allaient aux fĂȘtes. Les parents allaient dans les familles et beaucoup de monde se rĂ©unissait. A prĂ©sent, mĂȘme les cousins ne viennent pas, c’est perdu. Les gens d’alors Ă©taient pauvres mais gais. Maintenant ils sont ambitieux. Avant on chantait tout en travaillant.
IR-018 B07 chanson - musique A quinze ans il jouait de l’accordĂ©on. Ils apprenaient et s’entraĂźnaient avec ceux des villages voisins. Il aime beaucoup voir son petit-fils jouer de l’accordĂ©on. Dans les fĂȘtes on amenait de la musique. Au dĂ©but, quelques instruments et Ă  la fin un orchestre. Autrefois dans les fĂȘtes on faisait des rondes, on dansait, on mangeait et tous les jeunes Ă©taient rĂ©unis. A prĂ©sent on ne voit plus de jeunes. Le petit-fils joue un morceau d’accordĂ©on pour son grand-pĂšre.
IR-023f B01 Leurs noms et ceux des maisons. FĂȘtes : le jour de l’Ascension, San Pedro, Santiago, les jours de la Vierge. Les fĂȘtes d’Abaurrea Alta duraient trois jours : Ă  la San Pedro. C’était de trĂšs bonnes fĂȘtes, bien que la musique fĂ»t une guitare et une clarinette. Les femmes prĂ©paraient le repas. Il y avait plus de travail qu’à prĂ©sent. Une fois mariĂ©es, les femmes ne sortaient pratiquement pas.
IR-023f B03 Ils se rendaient aussi aux fĂȘtes des autres villages. A Jaurrieta, les fĂȘtes avaient lieu Ă  la San Martin.
IR-023f B04 musique Avant c’était les musiciens du village. Ensuite ils venaient de Carcastillo et plus tard de Lumbier. La mairie leur donnait dix duros pour la musique. Dans les fĂȘtes des autres villages ils s’amusaient bien aussi. Les femmes s’aidaient entre elles dans les fĂȘtes des villages. Les parents allaient Ă  la fĂȘte pour plusieurs jours. Ce qu’ils faisaient.
M-004 A03 Les fĂȘtes d’UztĂĄrroz avaient lieu Ă  la San Juan.
N-067 A08 Ils allaient toujours aux fĂȘtes de Valcarlos. Ils aimaient aussi beaucoup les fĂȘtes de Pampelune. Les fĂȘtes d’ArnĂ©guy Ă©taient aussi trĂšs agrĂ©ables.
SM-007b B08 anecdote Une autre fois, au retour de Pampelune, il commença Ă  vomir et passa les quatre jours de fĂȘte alitĂ©. Autrefois les fĂȘtes avaient lieu le 10 huillet mais maintenant elles sont le premier dimanche d’aoĂ»t, ils changĂšrent la date en raison de l’époque des foins.
N-043 A7 Elle profitait des plus jeunes frĂšres de sa mĂšre pour aller Ă  toutes les fĂȘtes des villages environnants. Sa mĂšre lui disait que si son oncle y allait elle pouvait y aller. Mais la musique cessait Ă  dix heures. Et sans argent, l’oncle Ă©tait toujours disposĂ© Ă  payer, ils dĂźnaient et Ă  minuit rentraient Ă  la maison.En hiver, quand il n’y avait pas de fĂȘtes de villages, ils allaient tous les dimanches Ă  la salle des fĂȘts “Malloak”, aussi bien jusqu’à deux heures du matin. Elles n’ont jamais Ă©tĂ© attachĂ©es. Elle croit qu’elle est plus stricte avec sa fille que ses parents ne le furent avec elle. Du fait que son oncle Ă©tait avec elle, ses parents Ă©taient sans doute plus tranquilles.
I-007 A13 religion: FĂȘte-Dieu Les cloches de vĂȘpres Ă©taient Ă  deux ou trois heures. Alors tous se rendaient Ă  la messe; Ils faisaient le Chemin de Croix et le Calvaire. Les consĂ©crations. Le jour du Corpus on mettait des toiles aux fenĂȘtres. Chacun devait nettoyer sa terre.
I-003 A8 Parfois ils faisaient venir des cuisiniĂšres, mais sinon ceux de la maison prĂ©paraient eux-mĂȘmes le repas. Autrefois les plus jeunes Ă©taient chargĂ©s de prĂ©parer le repas.
I-003 A6 Pendant les fĂȘtes du village elles avaient beaucoup de travail et n’avaient pas suffisamment de temps pour danser. L’aprĂšs-midi il y avait de la musique mais lorsque les cloches du soir (“ilunezkilak”) sonnaient, elles devaient rentrer Ă  la maison. AprĂšs dĂźner elles allaient dans une maison danser.
I-043 A06 Fani se prĂ©sente. Ils allaient Ă  l’ermitage de Burdindogi et lĂ , aprĂšs avoir Ă©coutĂ© la messe, ils mangeaient et dansaient.
I-043 A04 On faisait de belles fĂȘtes. Ils s’habillaient tous en blanc et avec les sonnailles, ils allaient faire la quĂȘte de maison en maison pour manger, et ensuite ils prĂ©paraient le repas entre tous. Puis ils avaient le bal.
I-036 A11 carnaval Seuls les garçons participaient aux carnavals. Durant les fĂȘtes elles allaient danser et le curĂ© les laissait tranquilles.
I-042 A04 alimentation: lait Le village est Ă  vingt kilomĂštres de Pampelune. Il est petit, il compte une quinzaine de maisons, et les maisons de ceux qui viennent en fin de semaine. Les fĂȘtes ont lieu Ă  la fin de la semaine proche du huit septembre. Le vendredi soir ils font un repas tous ensemble et il y a un orchestre. Le samedi et le dimanche, chacun fĂȘte cela en famille. Pour les femmes cela reprĂ©sente beaucoup de travail. Les gens du village normalement vivent de l’élevage et vendent le lait. Avant, on l’emmenait Ă  Gurelesa et maintenant ils l’emmĂšnent Ă  Copeleche Ă  Pampelune.
I-014 A02 Durant la guerre, les fĂȘtes n’avaient pas lieu, plus tard elles rĂ©apparurent. Etant dans la montagne, ils n’allaient mĂȘme pas Ă  la messe.
I-026 B04 Les fĂȘtes ont lieu Ă  la San Martin, en novembre. Souvent il fait mauvais. Quand ils Ă©taient jeunes, s’il pleuvait ou s’il neigeait, ils se rĂ©unissaient dans une maison pour danser.
N-065 A04 anecdote Du fait qu’elle Ă©tait chez le curĂ©, elle n’avait pas autant de libertĂ© que les autres. Plus que le curĂ©, c’était la servante qui Ă©tait soupe au lait. Elles partirent aux fĂȘtes d’Irurtzun dans la camionnette du boulanger. Au retour, la servante lui dit que ce n’était plus la peine de lui demander des autorisations. Le jour suivant, elles allĂšrent aux fĂȘtes sans demander la permission.
I-023b B07 divers Les fĂȘtes d’Itsaso ont lieu Ă  la Santa Cruz, le 14 septembre.
I-036 B02 Durant les fĂȘtes, les aprĂšs-midis il y avait bal avec la musique d’un accordĂ©on.
I-091a A06 Les fĂȘtes du village avaient lieu le jour de la Saint Christophe. Le matin, une messe Ă©tait cĂ©lĂ©brĂ©e et lÂŽaprĂšs-midi et le soir il y avait de la musique. Les filles aussi dansaient. Le lendemain, les filles prĂ©paraient le petit-dĂ©jeuner. LÂŽaprĂšs-midi et le soir, il y avait Ă  nouveau de la musique. Les fĂȘtes duraient quatre jours. Le curĂ© se fĂąchait vraiment quand il les voyait danser. Ils mangeaient de la soupe, des pois chiches, de lÂŽagneau et du poulet.
I-040 A04 divers - tabac Les fĂȘtes durent quatre jours. Mais au village, il y a moins de jeunes Ă  prĂ©sent. A propos de certaines personnes du village. Le jour de la FĂȘte-Dieu, deux couples allaient en France par la montagne. LĂ -bas ils dansaient. Il a toujours fumĂ©, au moins un paquet par jour.
IR-014b A02 anecdote Lorsque les cloches de nuit sonnaient, ils devaient rentrer Ă  la maison, avant la tombĂ©e de la nuit. Quand ils avaient vingt-deux ans, le pĂšre ne les laissa pas aller Ă  la fĂȘte. Une autre fois, ils prĂ©parĂšrent tout et ils sÂŽĂ©chappĂšrent en courant Ă  la fĂȘte. Dans le village, il y avait de la musique tous les jours. Des garçons venaient chez elle et ils dansaient avec eux devant les parents.
II-062b A02 carnaval Tous les dimanches ils faisaient la fĂȘte. En Ă©tĂ©, ils allaient danser dans les fĂȘtes de villages. Durant le carnaval, ils lĂąchaient six vaches et elles rentraient mĂȘme dans les bars. Il y avait aussi des blessĂ©s. Les fĂȘtes sont diffĂ©rentes : il fallait bien danser, on buvait du vin, on chantait
 Ils chantaient des vieux chants. Les jeunes dÂŽaujourdÂŽhui ne connaissent plus ces chants. MĂȘme quand ils fabriquaient les chaussures, pĂšre et fils avaient lÂŽhabitude de chanter. La façon de vivre Ă©tait plus agrĂ©able avant quÂŽaujourdÂŽhui. Dans les villages, il y avait plus de gens.
N-075 A04 Les fĂȘtes dÂŽUstaritz ont lieu Ă  la mi-juillet. Elles commencent un vendredi soir et finissent le mardi. De belles parties de pelote ont lieu Ă  cette occasion.
IC-002a A04 Les fĂȘtes du village ont lieu Ă  la Saint Martin, le 11 novembre. Il nÂŽy a plus de gens pour cĂ©lĂ©brer ces fĂȘtes.
II-008b A02 carnaval La mĂšre de Faustin savait aussi les sauts. Pendant le carnaval, les danseurs portaient un pantalon et une chemise blancs, des espadrilles,un bĂ©ret rouge et des rubans de couleurs dans le dos. A la main ils tenaient un bĂąton de couleur. Bolant-dantza. Personnages du carnaval : "zapurrak", deux hommes dĂ©guisĂ©s en homme et femme, "basandereak" (les femmes sauvages), lÂŽours, les forgerons. Le carnaval Ă©tait la seule pĂ©riode oĂč lÂŽon pouvait se distraire. Dans les fĂȘtes, on dansait les danses de toujours : valse, scottish, mazurka, fandango et quadrilles. Pour finir, les sauts basques. Pour terminer les fĂȘtes, le troisiĂšme jour, on faisait la farandole.
II-168a A04 Il n’allait pas beaucoup aux fĂȘtes des autres villages, car il devait y aller Ă  bicyclette. Il avait deux heures de route. Les accordĂ©onistes jouaient et on buvait du vin. (25:35”) Les piques des mascarades.
IC-016a A07 mode de vie
IC-003a A04
IC-006a A08 Des gens de tous les villages viennent pour les fĂȘtes, mais lui n’aime pas beaucoup les fĂȘtes. A prĂ©sent, il est Ă  la retraite. Il gagna un peu d’argent aprĂšs avoir passĂ© quinze ans dans la montagne. Neuf personnes ont vĂ©cu dans la maison. Il est cĂ©libataire, les femmes ne vont pas dans des petites maisons comme la sienne.
IC-017a A04 Avant, les fĂȘtes Ă©taient diffĂ©rentes. Les gens dormaient plus ou moins pendant les fĂȘtes. Le lendemain matin et aprĂšs dĂ©jeuner, ils faisaient le passe-rues. Ils profitaient bien des fĂȘtes parce qu’il y avait peu d’occasions de se divertir.
IC-009a A06 Ils allaient de maison en maison, en chantant des couplets, mais comme la coutume s’est perdue, il les a oubliĂ©s. Maintenant les petits chantent en castillan. Les fĂȘtes d’Orbaitzeta ont lieu Ă  la Saint Pierre, mais les coutumes d’autrefois se sont perdues.
IC-016c A02 Le “ttunttunero” (joueur de tambour) venait Ă  la fĂȘte et ils dansaient “ingurutxo” (la ronde). Les fĂȘtes ont lieu Ă  la Saint Martin. Les fĂȘtes actuelles ne ressemblent pas Ă  celles d’autrefois. Les parents venaient, pourtant il y avait peu de monde. Quand la cloche sonnait le soir, les filles rentraient Ă  la maison , mais les garçons restaient dehors. Pendant les fĂȘtes, les filles faisaient les “piper-opilak” (pĂątĂ©s) ou “txuribeltzak”pour les garçons. Description de “txuribeltza”. Avant, la veille de la Saint Martin, les garçons se rĂ©unissaient dans le bar du village, ils grillaient des chĂątaignes et faisaient une ronde Ă  travers le village. Le musicien venait d’Ituren.
IC-014a A14 A Noel et en hiver ils jouaient aux cartes ou se réunissaient dans les maisons, garçons et filles, pour faire des goûters. Parfois il y avait un accordéoniste et ils dansaient. Parfois ils faisaient la ronde de maison en maison.
N-006 A01 Les fĂȘtes d’Arbizu commencent le 23 juin et se terminent le 29. Pendant les fĂȘtes, les conscrits font des repas au vieux fronton. Les gens du mĂȘme Ăąge s’habillent avec des blouses de la mĂȘme couleur. Chaque annĂ©e il y a un peu moins de gens dans ces repas de conscrits. Au lieu d’installer des baraques ou des stands, les partis politiques et les associations locales ouvrent des comptoirs. Les jeunes du village se rĂ©unissent dans leur sociĂ©tĂ© toute l’annĂ©e, et eux aussi installent un comptoir pendant les fĂȘtes. Ce sont les conscrits qui organisent les fĂȘtes, avec l’aide de la municipalitĂ©. Ce systĂšme est bien parce que les jeunes participent, mais il pĂšche par le fait que les anciens ne participent pas. Comme ce sont les premiĂšres fĂȘtes des environs, les gens y viennent avec plaisir. Dans la semaine, il n’y a pratiquement personne, mais en fin de semaine trop. Les gens du village prĂ©fĂšrent les jours sur semaine. La municipalitĂ© offre le vin pour les goĂ»ters. La fĂȘte de l’ermitage de Saint Jean est ce qu’il y a de plus joli, et la nuit on saute par-dessus les feux.
N-007 A02 Pendant les fĂȘtes, ils allaient Ă  la messe le matin, Ă©lĂ©gamment vĂȘtus avec la cravate, ensuite ils prenaient le vermouth. L’aprĂšs-midi, aprĂšs ĂȘtre sortis des vĂȘpres, ils allaient danser au bal.
N-016 A02 A Mugiro, les fĂȘtes ont lieu Ă  la Saint Pierre. Les joueurs de gaitas de Lizarra/Estella s’y rendaient. Les fĂȘtes les plus rĂ©putĂ©es des alentours Ă©taient celles de Lekunberri. Comment ils rentraient au plus tard Ă  minuit Ă  la maison. A Arruitz venait un accordĂ©oniste qui faisait la ronde de maison en maison. A cinq heures commençait la musique jusqu’à l’heure du souper. AprĂšs dix heures ou dix heures et demi, ils sortaient Ă  nouveau sur la place. Comme il n’y avait pas de voitures, les fĂȘtes Ă©taient pour les familles une occasion unique de se rĂ©unir.
N-038 A01 Certains Ă©pisodes attribuĂ©s aux gens d’Etxarri-Aranaz ne sont pas avĂ©rĂ©s, d’autres le sont. Certaines choses qui sont arrivĂ©es au cours des fĂȘtes d’Etxarri-Aranaz.
N-058 A03 Les fĂȘtes d’autrefois. Les fĂȘtes ont lieu le jour de la Saint Tiburce. Il y avait des danseurs Ă  l’épĂ©e et des parties de pelote. Ils devaient ĂȘtre Ă  la maison avant que le sacristain sonne la cloche du soir. Il n’y avait pas de vachettes. Pendant le carnaval, seuls les garçons se dĂ©guisaient. Sur la place, il y avait un joueur de txistu et un accordĂ©oniste. C’était la seule distraction. Entre la pĂ©riode de sa jeunesse et maintenant, les choses ont beaucoup changĂ©.
N-062 A02 A Lizarraga, il y a deux grandes fĂȘtes : celle du Patron, Saint ClĂ©ment, est cĂ©lĂ©brĂ©e en novembre ; et en Ă©tĂ© on fĂȘte la Saint Adrien. En procession ils portent l’image du saint de l’église jusqu’à l’ermitage de Saint Adrien Ă  Urbasa. Avant ils s’y rendaient Ă  pied, maintenant on peut y aller en voiture. Sur place ils font la fĂȘte et il y a un bal. Ensuite, un bal a lieu aussi dans le village. Il n’a pas connu les carnavals dans le village. La veille des Rois, ils faisaient la ronde et dans les maisons on leur offrait des friandises. A la Saint Jean, ils faisaient des feux. Le jour de la Saint Michel et de la Saint Martin Ă©taient fĂȘtĂ©s par les confrĂ©ries, avec messe et repas.
II-059a A10 danse: Bolant dantza - carnaval:libertimendua - danse: dantza-jauziak
II-060b B19 danse - juegos: pelota, partidos
II-008a A09 travail: des femmes
II-057a A02 danse
II-057a A04 carnaval - danse - danse: dantza-jauziak
II-057a A06 danse - carnaval:libertimendua
II-057a A09 danse - carnaval: libertimendua - baile:personajes
II-057a A10 danse - carnaval: libertimendua