ThĂšmes

carnaval [64 résultats]

Fichier Fragment Autres thèmes du fragment Sommaire
D-001 A10 Carnavals: "zakutzarrak", les garçons entraient dans les sacs et les filles rembourraient ces sacs et les cousaient
D-001 A12 Les carnavals commencĂšrent Ă  ĂȘtre cĂ©lĂ©brĂ©s lĂ -bas. Les jeunes sortaient faire la quĂȘte, ils prenaient le petit-dĂ©jeuner et sortaient en musique.
D-003 A17 Sanfermines - Guerre civile En raison de la Guerre Civile, Carnavals et fĂȘtes de la San Fermin furent suspendus
D-003 A18 jour: jours de fĂȘte Jours de fĂȘte et Carnavals.
D-010 A01 animaux: ours PrĂ©sentation par lui-mĂȘme. Les carnavals : les deux premiers jours (dimanche et lundi), les bandes circulent de maison en maison, dans les diffĂ©rents quartiers, en deux groupes sĂ©parĂ©s, chacun ayant sa propre musique. Il y a Ă©galement un dĂ©filĂ© avec les dĂ©guisements et l’ours, qui fait le tour du village jusqu’à l’heure du dĂ©jeuner. L’aprĂšs-midi, c’est au tour des danseurs ("sagardantzariak") d’effectuer leur sortie.
D-010 A02 vĂȘtement Costume de carnaval: il n’existe pas un costume particulier, mais diffĂ©rentes sortes.
D-010 A03 demandant Pendant la quĂȘte, on demande des oeufs, de la ventrĂšche, du pain, de l’argent et un “coup” Ă  boire.
D-010 A04 animaux: ours Le rĂŽle de l’ours dans le dĂ©filĂ© (effrayer les gens) et les autres personnages dĂ©guisĂ©s du dĂ©file.
D-021 A03 FĂȘtes de NoĂ«l Le soir du rĂ©veillon de fin d’annĂ©e, seuls les hommes sortent faire la quĂȘte de maison en maison, comme pendant le Carnaval.
D-023 A01 alimentation: friand, chausson Carnavals de Zubieta. Tous les matins, un couple de joaldun (personnage du Carnaval de Navarre qui porte des sonnailles dans le dos et les font sonner en marchant) et les musiciens sortent en quĂȘte de nourriture, puis, avec ce qu’ils ont pu recueillir, ils prennent leur petit-dĂ©jeuner au bar du village. Le lundi, les joaldun, les chars et les personnages dĂ©guisĂ©s se rendent Ă  Ituren. Le mardi, ceux d’Ituren se rendent Ă  leur tour Ă  Zubieta, en passant par le pont. Ils achĂšvent leur tour du village sur la place oĂč un homme distribue Ă  chaque joaldun un “piperropil” (petit pain rond). Ensuite, au bar du village chacun mange de la soupe et un oeuf dur.
D-024 A07 Rafael raconte ce qu’ils faisaient pendant le Carnaval. Aurevoir et remerciements.
D-026 A05 outre Lutxi explique ce qu’est l’outre: c’est un Ă©lĂ©ment du Carnaval. C’est un personnage - Ă©galement l’objet d’une danse - qui se peint en noir et qui s’approche des filles en essayant de les embrasser. Aurevoir.
D-052 A04 Carnavals: il y avait de la musique philarmonique ou de l’accordĂ©on et ils sortaient faire la quĂȘte en emportant une broche afin de faire griller la charcuterie sur place. Ceux d’Erbiti se rendaient Ă  Orokieta et inversement. Les garçons se dĂ©guisaient et faisaient les fous. Et finalement, des querelles se produisaient entre les diffĂ©rents villages.
D-057 A10 Deux hommes prĂ©paraient les trois jours du Carnaval. Le vendredi soir a lieu un dĂźner, le samedi la quĂȘte, le soir dĂźner et musique, et cela se terminait le dimanche. Ce sont surtout les garçons qui participaient.
D-057 A13 religion: mercredi des cendres Le mercredi des Cendres on emportait le bois Ă  l’église et il Ă©tait brĂ»lĂ©. Autrefois, cela se faisait le samedi de la Semaine Sainte.
D-057 A02 Les Carnavals se dĂ©roulent Ă  la fin de la premiĂšre semaine de fĂ©vrier. Ils dĂ©butent par un repas le vendredi soir. Le samedi, aprĂšs un petit-dĂ©jeuner pris tous ensemble, ils sortent faire la quĂȘte de maison en maison accompagnĂ©s par de la musique, pour faire ensuite un repas avec tout ce qu’ils ont recueilli. Ils se rendent aussi dans les fermes isolĂ©es.
D-057 A20 Durant le Carnaval, les jeunes du village louaient une maison et y demeuraient trois jours. Ils avaient une cuisiniĂšre et c’est lĂ  qu’ils dĂ©jeunaient et dĂźnaient. Ils tuaient deux moutons et c’est ce qu’ils mangeaient.
D-062 A04 religion: mercredi des cendres Mercredi des cendres: on le célébrait par une messe, rien de plus.
D-078 A01 Les carnavals de Labaien et Santesteban. La façon de se vĂȘtir, les repas, les quĂȘtes. Autrefois, seuls participaient ceux qui avaient plus de seize ou dix-sept ans. A Labaien, les filles ne participaient pas. L’ambiance d’autrefois et celle d’aujourd’hui sont diffĂ©rentes. Autrefois, tout Ă©tait fĂȘte, actuellement, il arrive souvent qu’il y ait des Ăąneries.
I-001 A08 Les carnavals duraient trois jours. Le quatriĂšme jour, les garçons passaient de maison en maison demander de la nourriture pour faire un repas. Les filles ne pouvaient rien faire. Les majordomes ne pouvaient ĂȘtre que des garçons. Ils Ă©taient les organisateurs, commandaient la musique et payaient tout. La musique Ă©tait jouĂ©e au txistu.
I-031 A05 Les garçons et les jeunes gens allaient faire la quĂȘte de maison en maison. On leur donnait du lard, du pain, des oeufs, du chorizo et encore d’autres choses.Ils emportaient avec eux la broche pour y faire rĂŽtir ce qu’on leur donnait et un panier pour mettre les oeufs. A prĂ©sent ils recueillent de l’argent.
I-037 B05 chanson Durant les carnavals ils faisaient la quĂȘte de maison en maison. Ils emportaient avec eux une broche et un panier pour mettre les oeufs. Chanson.
IR-003 A05 Durant les carnavals ils allaient par les rues, entrant dans chaque maison pour qu’on leur donne quelque chose Ă  manger. Ils emportaient avec eux une broche en fer pour la viande de porc. Elles avaient pour habitude de les suivre par derriĂšre. Ils se dĂ©guisaient avec ce qu’ils avaient Ă  la maison, de maniĂšre Ă  ce qu’on ne les reconnĂ»t pas. Les filles ne se dĂ©guisaient pas. La date des carnavals est fonction du CarĂȘme. Ils se retrouvaient tous pour un repas Ă  la mairie le mardi. Le mercredi il y avait bal. Mais les curĂ©s se fĂąchĂšrent, car le carĂȘme avait dĂ©butĂ© et que l’on ne pouvait pas danser. S’il y avait de l’argent, on achetait quelque chose de spĂ©cial pour le repas.
IR-008 B01 Ils commencent Ă  parler du temps qu’il fait ces jours ci. Il y a eu les Carnavals et Regina a reçu beaucoup de gens chez elle. Le village aussi Ă©tait plein de monde.
IR-023f B02 Pour les carnavals, ils Ă©taient de fĂȘte pendant toute une semaine. Ils allaient faire la quĂȘte de maison en maison : ils recueillaient des saucisses et des oeufs.
M-004 A06 Durant les carnavals, les hommes faisaient la quĂȘte dans les maisons et on leur donnait de la charcuterie. Ils dansaient beaucoup avec la musique jouĂ©e Ă  la guitare ou Ă  l’accordĂ©on.
N-052 A18 Pendant les carnavals ils allaient faire la quĂȘte de maison en maison. Maintenant on cĂ©lĂšbre davantage qu’avant.
N-067 A09 danse Carnavals : masques, "bolantak" (danseurs de Valcarlos). "Bolant dantza" et "Jauzi dantza" Ă©taient dansĂ©es par des garçons. Aujourd’hui garçons et filles les dansent. A l’époque les soeurs des garçons qui dansaient les accompagnaient en autobus pour les aider Ă  s’habiller.
SM-011 A22 Pendant les carnavals, les garçons allaient de porte en porte “Garait eta garait, txinger pixket emanez nahi” (victoire, victoire, si tu veux bien nous donner un peu de ventrĂšche). Parfois les hommes Ă©taient habillĂ©s en femmes.
I-043 A05 Pendant les carnavals, ils allaient demander de la nourriture dans les maisons en disant : “Inaute koxkote, txerri txar bat hil dute txinger pixka bat eman digute” (Carnaval ‘koxkote” ?, ils ont tuĂ© un gros cochon, ils nous ont donnĂ© un peu de lard).
I-036 A11 fĂȘtes Seuls les garçons participaient aux carnavals. Durant les fĂȘtes elles allaient danser et le curĂ© les laissait tranquilles.
I-042 A05 A Aritzu on ne fĂȘte pas les carnavals. Les gens vont Ă  Olague, le plus grand village d’Anue. LĂ  il n’y a pas de danse autochtone.
EE-006c A09 Ils se rĂ©unissent une semaine avant pour faire le Miel Otxin et tout prĂ©parer. JuliĂĄn prĂ©fĂšre l’ambiance d’avant parce qu’il y avait moins de monde et que les filles ne participaient pas. Les filles ne sont pas aussi dynamiques que les garçons. Le lundi est le jour le plus beau, le jour rĂ©servĂ© Ă  ceux du village. Ce qui plaĂźt le plus au jeune est d’aller de maison en maison.
EE-006c A06 Autrefois on buvait autant qu’aujourd’hui mais on prenait du vin. Ils ont le visage cachĂ© pour pouvoir bouger et faire ce qu’ils ont Ă  faire tranquillement. Toutefois on les reconnaĂźt.
EE-006c A05 Pour se dĂ©guiser en Ziripot il faut ĂȘtre assez grand pour bien remplir le costume. En revanche, pour ĂȘtre Zaldiko il faut ĂȘtre trĂšs vif, et courir beaucoup. Les autres sont es Txatxos. Ils portent Miel Otxin. Il pĂšse quelque trente kilos. Le rĂŽle de marĂ©chal-ferrant est tenu par les cĂ©libataires.
EE-006c A03 Avant la guerre il eut lieu deux fois mais durant la guerre il se perdit. Aprùs la guerre, les gens des alentours s’y rendaient aussi, ainsi que les parents des voisins
EE-006c A01 L’ambiance a totalement changĂ©. Maintenant il y a trop de gens et les filles participent, ce qui n’était pas le cas avant. Autrefois, seuls participaient les garçons et les filles regardaient, prĂ©paraient le dĂźner et dansaient un peu. Les personnages sont les mĂȘmes. Mais autrefois Miel Otxin se confessait. Les carnavals se perdirent et quand ils les relancĂšrent ils mirent “viva los mozos de Lantz” (vive les garçons de Lantz), mais une seule annĂ©e. Maintenant on a besoin des filles Ă©tant donnĂ© qu’il n’y a plus assez de garçons. Mais pour la quĂȘte de maison en maison, seuls interviennent les garçons.
SN-007b A07 Durant les Carnavals, les garçons recueillaient l’aumîne. Par la suite, le nombre d’habitants allant en diminuant et aujourd’hui on ne recueille plus l’aumîne.
SN-007a A10 Durant le Carnaval, on recueillait de quoi goĂ»ter, mais il n’y avait ni dĂ©guisements, ni masques. On leur donnait du lard, des saucisses et des oeufs. Il y avait rassemblement de jeunes et ils Ă©lisaient le majordome. Le goĂ»ter se faisait chez lui.
I-041 A03 Pendant le carnaval, les enfants allaient de maison en maison faire la quĂȘte. Mais cela ne se fait plus depuis de nombreuses annĂ©es. Les jeunes dÂŽaujourdÂŽhui nÂŽont pas connu cette coutume.
II-111a A06 anecdote Ils allaient faire la quĂȘte : le "renard" recueillait les oeufs de maison en maison quand ils allaient faire la quĂȘte. Ils font toujours la quĂȘte aujourdÂŽhui et ensuite, ils font un repas. Anecdote : Ce quÂŽils rĂ©pondirent au curĂ© quand celui-ci leur dit quÂŽĂ  lÂŽĂ©glise aussi ils devraient chanter. Les "masques" sortaient avec le visage couvert ou mal vĂȘtus.
II-130b A04 anecdote - danse: Bolant dantza Pendant les carnavals, on faisait les "Bolant dantzak" et les "masques". Certains avec le visage couvert, dÂŽautres habillĂ©s en femmes, dÂŽautres dĂ©guisĂ©s en animaux. Il y avait aussi deux "gorri" (rouges) et deux "bandelari" (porte-drapeaux). Actuellement, les "Bolant dantzak" se font Ă  PĂąques. Il dansa aprĂšs ĂȘtre revenu de la guerre, comme "gorri" et comme "bolante". Les "zapurrak" : ils vont avec les haches devant les "bolante", les "zaldiko", les gĂ©ants. "Atso eta tupinak" (vieilles femmes et marmites) : lÂŽun Ă©tait habillĂ© en femme et lÂŽautre portait une peau sur le dos et un bĂ©ret couvert dÂŽaubĂ©pine. Sur la place, on devait lui retirer son bĂ©ret. (19.12") Comment ils faisaient le spectacle en essayant dÂŽattraper le bĂ©ret. DÂŽabord, les danseurs interviennent et ensuite le roulement de tambour indique le dĂ©but de cette partie du jeu.
II-130b A06 vers Le jour, il y avait des improvisations et "asto-jokoa" (le jeu de lŽùne). (30.30") Improvisations. (38.50") Le mardi du carnaval on faisait les "masques". Le lundi, les jeunes allaient demander de la nourriture de maison en maison. Le mardi, les travaux de la ferme étaient représentés sous forme de théùtre comique. Depuis tout petit, il a toujours connu la tradition du carnaval dans son village.
II-130b A08 Durant le carnaval, on tuait le cochon dans certaines maisons. On mangeait trÚs bien. On dansait et on chantait, accompagnés par la musique.
II-062b A01 danse - vĂȘtement: costumes PrĂ©sentation : Robert fut "kaxkarot" (danseur) et ils Ă©voquent la danse. Son pĂšre Ă©tait cordonnier et lui aussi a travaillĂ© dans ce mĂ©tier, tout en se consacrant Ă  lÂŽagriculture. Il apprit la comptabilitĂ©. Il alla Ă  lÂŽĂ©cole jusquÂŽĂ  lÂŽĂąge de seize ans, jusquÂŽĂ  ce que la guerre ne lÂŽoblige Ă  renoncer. Il ne resta pas Ă  la guerre, parce quÂŽil sÂŽĂ©tait cachĂ©. Son pĂšre aussi Ă©tait danseur mais cÂŽest son oncle qui leur apprit la danse, car son pĂšre leur avait dit quÂŽil voulait bien leur enseigner le travail, mais pas la danse. Avant la guerre aussi il y avait des danseurs, qui dansaient Ă  lÂŽoccasion du carnaval. Ils allaient de maison en maison. (12:50") Les "bandelari" (porte-drapeaux) et les "agintariek" (chefs) portaient le bĂ©ret rouge, tandis que les autres avaient un bĂ©ret blanc. Les vĂȘtements et les espadrilles Ă©taient blancs, ornĂ©s dÂŽune bande rouge. LÂŽorigine du nom "Kaxkarot". Ce nom nÂŽest plus utilisĂ© pour dĂ©signer les danseurs locaux. Ils Ă©taient quatorze danseurs et il y avait Ă©galement des musiciens : tambour, basse, piston (valvule ou trombone) et clarinette. CÂŽĂ©tait lÂŽorchestre du village et il leur faisait un bon prix. Comment ils se procuraient les vĂȘtements. En plus de sortir pour le carnaval, ils allaient Ă  Bayonne, dans une fĂȘte pour danseurs. Ils gagnĂšrent le concours de fandago qui eut lieu Ă  la fin. Une autre fois, un homme qui les avait vu danser durant le carnaval les emmena aux fĂȘtes de son village. (21:25") Ils donnaient ces danses : fandango, arin-arin, kaxkarot martxa.... Ils ne faisaient pas les sauts car cela ne plaisait pas beaucoup aux gens et ce nÂŽĂ©tait pas la coutume. A lÂŽĂ©poque, les filles ne dansaient pas. Elles commencĂšrent plus tard. Par la suite, il apprit des danses diffĂ©rentes. Celui qui a lÂŽhabitude apprend facilement dÂŽautres danses.
II-062b A02 fĂȘtes Tous les dimanches ils faisaient la fĂȘte. En Ă©tĂ©, ils allaient danser dans les fĂȘtes de villages. Durant le carnaval, ils lĂąchaient six vaches et elles rentraient mĂȘme dans les bars. Il y avait aussi des blessĂ©s. Les fĂȘtes sont diffĂ©rentes : il fallait bien danser, on buvait du vin, on chantait
 Ils chantaient des vieux chants. Les jeunes dÂŽaujourdÂŽhui ne connaissent plus ces chants. MĂȘme quand ils fabriquaient les chaussures, pĂšre et fils avaient lÂŽhabitude de chanter. La façon de vivre Ă©tait plus agrĂ©able avant quÂŽaujourdÂŽhui. Dans les villages, il y avait plus de gens.
II-095b A05 (31:15") Quand elle Ă©tait enfant Ă  Baigorri, on faisait le carnaval. Les jeunes se dĂ©guisaient et quelquefois on ne les reconnaissait mĂȘme pas. Elles ne se dĂ©guisaient pas, elles Ă©taient enfants. Il y avait aussi les chars tirĂ©s par des vaches, sur lesquels Ă©taient les jeunes dĂ©guisĂ©s. Il y avait Ă©galement de la musique, des harmonicas et des accordĂ©ons, pas comme aujourdÂŽhui. Les filles ne pouvaient pas danser, mais certaines se dĂ©guisaient et dansaient. Ils allaient de maison en maison faire la quĂȘte en musique. Ensuite, ils se rĂ©unissaient pour manger. Cela se faisait le mardi de carnaval. Les dĂ©guisements pouvaient ĂȘtre faits maison, ou achetĂ©s.
I-055 A06 Autrefois, les gens nÂŽallaient pas au carnaval de Lantz. CÂŽĂ©tait une fĂȘte de village. Les hommes allaient faire la quĂȘte chez les gens et ensuite ils faisaient un repas au bar du village. Les femmes, cependant, quand les cloches de nuit retentissaient, devaient rentrer Ă  la maison. Pendant les fĂȘtes aussi, Ă  lÂŽheure sainte, pour le rosaire de la nuit, elles devaient ĂȘtre Ă  la maison. (33.30") Fermes.
II-008b A02 fĂȘtes La mĂšre de Faustin savait aussi les sauts. Pendant le carnaval, les danseurs portaient un pantalon et une chemise blancs, des espadrilles,un bĂ©ret rouge et des rubans de couleurs dans le dos. A la main ils tenaient un bĂąton de couleur. Bolant-dantza. Personnages du carnaval : "zapurrak", deux hommes dĂ©guisĂ©s en homme et femme, "basandereak" (les femmes sauvages), lÂŽours, les forgerons. Le carnaval Ă©tait la seule pĂ©riode oĂč lÂŽon pouvait se distraire. Dans les fĂȘtes, on dansait les danses de toujours : valse, scottish, mazurka, fandango et quadrilles. Pour finir, les sauts basques. Pour terminer les fĂȘtes, le troisiĂšme jour, on faisait la farandole.
X-021a A01 animaux: ours - religion: Saint Jean - religion: Saint Jean Il est anthropologue et eux sont en train dÂŽĂ©tudier le Carnaval. CÂŽest un travail difficile, car chaque village a ses propres personnages. Dans les villes du Pays basque, les coutumes se sont beaucoup perdues. Mais il faut dire que le Carnaval a Ă©tĂ© quelque chose de gĂ©nĂ©ral, dans toutes les villes europĂ©ennes. Plus que ce qui prĂ©cĂšde le CarĂȘme, il comprend le Carnaval comme une tradition liĂ©e Ă  la terre. "Inauteri" (Carnaval) et "aratuste" (CarĂȘme-prenant) forment un couple. La caractĂ©ristique de cette Ă©poque est lÂŽĂ©lagage. DÂŽautre part, le couple "mozorro" (dĂ©guisement) et "zomorro" (insecte), outre le dĂ©guisement dĂ©signe le processus dÂŽinsectisation. Les jeunes sÂŽen vont, dĂ©guisĂ©s, de ferme en ferme recueillir les Ă©trennes, et dans ce cas, les Ă©trennes Ă©taient la dĂźme. Avec cela, ils faisaient une exhortation : comme ils ont reçu leurs Ă©trennes en fĂ©vrier, ils ne vendront plus les insectes en Ă©tĂ©. La sociĂ©tĂ© explicita leurs prĂ©occupations. Bien quÂŽaujourdÂŽhui le jour, on le voit comme une grande fĂȘte, le vin et lÂŽalcool avaient leur signification conjuratoire. Les insectes mouraient dans lÂŽalcool et ainsi ils buvaient du vin avec lÂŽintention de se dĂ©barrasser des flĂ©aux. Les moustiques et les sauterelles ont Ă©tĂ© les archĂ©types dÂŽinsectes dans toute lÂŽEurope. DÂŽun cĂŽtĂ©, les flĂ©aux de sauterelles Ă©taient terribles, et de lÂŽautre, les moustiques portaient la malaria. AujourdÂŽhui encore en Allemagne il y a un "tribunal de la peste". Les gĂ©ants sont symboles de faim, car leur estomac est insatiable. Certaines danses ont Ă©galement un sens de taille, comme "jorrai dantza". Ainsi, Ă  une Ă©poque, les coutumes Ă©taient en relation avec le travail. Il faut dire quÂŽelles se mĂȘlaient aussi aux croyances. Les personnages dÂŽIturen et Zubieta portent dans leurs mains des queues de cheval et des sonnailles. Ces instruments sont ceux quÂŽutilisent les animaux contre les insectes. Dans le christianisme, BelzĂ©buth a pour signification Ă©tymologique "seigneur des mouches", cÂŽest Ă  dire que le diable est en relation avec les mouches. (13:16") LÂŽours : il sort toujours en fĂ©vrier, il est le symbole de la fin de lÂŽhiver et de lÂŽarrivĂ©e du printemps. Avec lui viennent les gitans. Ceci aussi est un Ă©lĂ©ment trĂšs ancien. Bien que les Conciles furnt opposĂ©s au Carnaval, les villages maintinrent leurs coutumes. MĂȘme si les choses ont changĂ©, certaines idĂ©es ont Ă©tĂ© maintenues de façon Ă©vidente : les masques, "errain behar" (devoir se marier ?), "zaldikoak" (dans toute lÂŽEurope), et les maures, les juifs ou les gitans. Ce sont les dĂ©guisements les plus importants du Carnaval. SymĂ©triquement aux carnavals de fĂ©vrier, il y a les fĂȘtes de la Saint Jean. Les gens de dĂ©guisent ("sÂŽinsectisent") pendant le carnaval et la veille de la Saint Jean, les insectes sont brĂ»lĂ©s dans le feu. Ces deux fĂȘtes sont complĂ©mentaires.. Les carnavals bougent sur le calendrier en mĂȘme temps que la nouvelle lune. Il va publier un livre. (19:10") Aurevoir.
XH-026 A03 A propos des carnavals. Les personnages de la mascarade souletine : "txerreroa" (le forgeron), "katua" (le chat"), "zaldia" (le cheval), "kantinersa" (la cantiniÚre), "zamaltzaina" (le porte-drapeau). Les personnages du carnaval de Lantz de Navarre : "Miel Otxin", "zaldia" (le cheval), "Ziripot". Carnavals navarrais dŽIturen et Zubieta : les "zanpatzar". Chaque personnage est caractérisé différemment et tous dansent généralement trÚs bien.
II-132b A01 religion: CarĂȘme PrĂ©sentation : carnavals d’avant guerre. Moment de grande distraction pour les jeunes gens. (02:30”) Ils se dĂ©guisaient et avec un accordĂ©on, montĂ©s sur un mulet, ils allaient faire la quĂȘte de maison en maison pour pouvoir ensuite faire un bon souper. Les filles de leur Ăąge essayaient de les reconnaĂźtre et se moquaient d’eux. On entrait avec le mulet dans les maisons. (06:25”) Les garçons faisaient la fĂȘte, les jeunes filles ne participaient pas. Les filles Ă©taient dans la cuisine oĂč elles faisaient des beignets. Recette. (09:30”) A l’époque, beaucoup de jeunes faisaient la communion et ils allaient travailler comme bonnes ou domestiques. Ceux qui restaient Ă  la maison se distrayaient autrement qu’aujourd’hui : messes, vĂȘpres, coudre dans la maison de la sacristaine
 Les garçons jouaient Ă  la pelote et Ă  sept heures ils devaient ĂȘtre Ă  la maison. Le carnaval se terminait le mardi. Le mercredi des cendres dĂ©butait le jeĂ»ne qui allait durer tout le temps du CarĂȘme.
IC-016c A03 Pendant le carnaval, ils recueillaient des prĂ©sents et seuls les garçons les mangeaient grillĂ©s. Pour les fĂȘtes de la Saint Martin, les prĂ©sents ainsi recueillis Ă©taient destinĂ©s aux musiciens. Pendant le carnaval, les filles offraient les prĂ©sents aux garçons. AprĂšs manger, les “txatxoak” sortaient. Ce que sont le “txatxo” et le “txatxutu”.
N-004 A02 A l’époque de Franco, les carnavals Ă©taient interdits, mais de toutes maniĂšres on les cĂ©lĂ©brait. Il y avait deux types de dĂ©guisements, blancs et noirs. Les blancs allaient quĂ©mander des prĂ©sents de maison en maison avec l’accordĂ©on, ceux-lĂ  Ă©taient bons. Les noirs portaient des sonnailles et effrayaient les enfants. Seuls les hommes se dĂ©guisaient.
N-016 A03 Les jeunes gens entre douze et seize ans se dĂ©guisaient et allaient de maison en maison quĂ©mander des prĂ©sents. Les carnavals Ă©taient mieux que les fĂȘtes. Aujourd’hui ils veulent les rĂ©cupĂ©rer, mais c’est diffĂ©rent parce qu’aujourd’hui, les jeunes ont des voitures et avant ils ne bougeaient pas du village.
N-030 A05 Dans la ferme Etxebertze, l’oncle jouait de l’accordĂ©on le dimanche aprĂšs-midi. Ils faisaient aussi des vers. On cĂ©lĂ©brait le carnaval du dimanche jusqu’au soir du mercredi des cendres.
N-028 A01 Les carnavals. Des gens dĂ©guisĂ©s avec des trikitixas se sont rendus Ă  l’école, et les enfants sont allĂ©s de maison en maison pour demander des prĂ©sents. Tous les dĂ©guisements Ă©taient trĂšs rĂ©ussis. Le dimanche il y eut un repas populaire, avec des improvisateurs, on fit des paris et il y eut des tombolas.
II-008a A11
II-057a A04 fĂȘtes - danse - danse: dantza-jauziak
II-009b B06
II-009b B08 religion: mercredi des cendres - alimentation: recette - alimentaciĂłn: kauserak
II-009b B11 religion: CarĂȘme
II-011a A08 - carnaval: Iholdi
II-011a A10 marché - -